Dans cet article, nous nous proposons de voir comment l’écologie, sous son aspect relations intraspécifiques est souvent en proie à des passions qui dévissent les personnages de leur raison et de leur humanisme.
Le désir et l’égocentrisme déterminent singulièrement les rapports et conduisent nécessairement à des situations de tension puis de perdition desquelles l’espace se voit pollué.
Donc, l’absence de la raison conjuguée à l’instinct d’avidité et d’assouvissement, dans toute relation et à tout prix, restent la dérive de l’humanité à laquelle s’intéresse le roman.